197 vues
Développeur , Editeur : |
Tomahawk | ||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|
Support : | Cartouche | ||||||
Certifié : | |||||||
Langue : | |||||||
Date de sortie : | 1990 ( 34 ans ) | ||||||
Type : |
|
||||||
Joueur : | |||||||
Quote : |
Saluons l'arrivée de No Exit, avec lequel vous pouvez enfin avoir un léger aperçu des capacités des nouvelles machines Amstrad. Soyons clair, ce n'est qu'un début (encore maladroit) qui présage le meilleur pour l'avenir.
On s'attend désormais à voir les programmeurs et graphistes utiliser à fond les possibilités de nos bécanes (nous serons dans le cas contraire très sévère dans notre jugement). A savoir. la palette graphique (en mode zéro, seize couleurs pour les décors et autant pour les sprites), les sons (qui sont mis en valeur par remplacement des haut-parleurs dans le moniteur) ainsi que les scrollings (défilements écran dans tous les sens), sans oublier une animation parfaite des personnages du jeu. Mais revenons à No Exit qui, je vous rapprends, est un jeu de combat dans l'esprit de la boxe thaïlandaise.
UN SCENARIO
Ne cherchez pas dans ce jeu, le super méga scénare du siècle qui sera bientôt adapté sur grand écran. Il n'y en a pas. Vous êtes simplement un combattant de première classe qui doit affronter divers (vers) adversaires sur fond de plusieurs décors futuristes, Le tout se passe dans les poings et les godasses. Pas de grande réflexion, juste un zeste de stratégie et beaucoup de réflexe.
DES OPTIONS SUR FOND DE RASTER
Au lancement du jeu. on assiste à une page de présentation légèrement animée. Le programme vous propose ensuite son menu sur fond de raster (une technique employée par les Demo-Mackers qui, dans le cas présent s'applique parfaitement au jeu). Vous pouvez choisir si votre adversaire sera géré par l'ordinateur ou par un autre joueur (votre petit frère par exemple).
Vous choisissez ensuite les capacités de votre personnage. Il s'agit de trouver le bon équilibre entre la force de frappe et la précision de votre combattant, ainsi qu'entre sa vivacité et sa résistance aux coups de l'adversaire.
PARADES ET MOUVEMENTS
Comme dans toute simulation de combat, ce qui compte le plus c'est la diversité des coups et des parades. No Exil se montre à la hauteur en proposant des roulades et sauts dans les deux directions, plusieurs types d'attaques comme les coups portés à la figure, au ventre et aux tibias. Pour assurer sa défense, le joueur devra maîtriser à merveille les parades qui éviteron. avec un zeste d'anticipation, les divers coups du pas beau qui voudra, comme tout pas beau digne de ce nom. sauver sa peau. Un détail important autant qu'amusant : les joueurs peuvent récupérer leur force en faisant de petits mouvements relaxants inspirés de notre gymnastique occidentale. Sympa, mais pas très pratique contre les méchants qui ne perdent pas une seconde en vous fonçant dessus à vitesse grand
UN MONSTRE VAUT MIEUX QUE DEUX TU L'AURAS
Dans le mode de combat contre l'ordinateur, vous pouvez à trois reprises vous transformer en un monstre surpuissant qui ne fera aucun cadeau au gugus d'en face. A consommer avec modération et surtout avec beaucoup de jugeote car il arrive des moments où la transformation devient indispensable et, comme toute bonne chose, cela ne dure pas une éternité.
LES ECRANS EN COULEUR
L'écran est très riche. En plein centre de votre moniteur, se trouve la fenêtre dans laquelle se déroulent les combats. On ne peut se tromper. C'est une fenêtre étirée, pour donner un espace plus important, que les CPC offrent par défaut. On y voit également le niveau d'énergie des deux combattants (99 pour la meilleure des formes), le nombre de transformations possibles du joueur en monstre, et un chronomètre.
Eh oui ! le temps vous est compté et ne dépasse guère les 90 secondes... C'est ainsi qu'en voulant jouer les rapaces, j'adoptais la tactique de "trois sauts à droite, je récupère, trois sauts à gauche, je récupère", et out of time... Chaque combat a lieu dans un décor différent. Les graphistes, je l'avoue, ont fait du bon travail. Les six décors utilisés pour le jeu privilégient les nuances de mauve, ce qui donne à l'ensemble un arrière-goût de la planète Violetin-X23 (lieu dans lequel étant enfant je passais mes vacances avec mon chien et Zozotte, la voisine... M'enfin, je ne suis pas là pour vous raconter ma vie, d'autant que vous n'en avez rien à faire, non ? Ah bon !). On trouve de tout petits détails (genre gag) comme la chauve-souris qui passe et repasse en croondant comme une fourmi. Comment, vous ne saviez pas que les fourmis croondent ?
C'EST DOMMAGE
Le grand regret ressenti en jouant à No Exit, c'est sa simplicité. Au bout de la cinquième partie, je me trouvais au dernier level, et Robby, en moins d'une heure d'entraînement, l'a fini. Croyez-moi, dans le genre bastonneur fou, il ne fait pas le poids. Il n'empêche que le joueur moyen et non initié aux simulations de combat peut tout de même y passer de longues heures en jouant par exemple avec le cousin venu de très loin essayer sa nouvelle bécane.
No Exit est un jeu bien réalisé qui. je le rappelle, ne pousse pas assez loin les possibilités des CPC plus et les GX 4000 (mais nous en sommes sûrs, cela ne saurait tarder : n'est-ce pas, messieurs les éditeurs ?). Les couleurs sont là, le son aussi, mais la facilité et la petitesse de Taire de jeu en font un soft qui se retrouvera assez vite au placard, et c'est bien dommage. Une dépêche de dernière minute m'apprend que les programmeurs du soft ont décidé de rendre le jeu plus difficile. Enfin une boîte d'édition qui tient compte de l'avis de la presse !
On s'attend désormais à voir les programmeurs et graphistes utiliser à fond les possibilités de nos bécanes (nous serons dans le cas contraire très sévère dans notre jugement). A savoir. la palette graphique (en mode zéro, seize couleurs pour les décors et autant pour les sprites), les sons (qui sont mis en valeur par remplacement des haut-parleurs dans le moniteur) ainsi que les scrollings (défilements écran dans tous les sens), sans oublier une animation parfaite des personnages du jeu. Mais revenons à No Exit qui, je vous rapprends, est un jeu de combat dans l'esprit de la boxe thaïlandaise.
UN SCENARIO
Ne cherchez pas dans ce jeu, le super méga scénare du siècle qui sera bientôt adapté sur grand écran. Il n'y en a pas. Vous êtes simplement un combattant de première classe qui doit affronter divers (vers) adversaires sur fond de plusieurs décors futuristes, Le tout se passe dans les poings et les godasses. Pas de grande réflexion, juste un zeste de stratégie et beaucoup de réflexe.
DES OPTIONS SUR FOND DE RASTER
Au lancement du jeu. on assiste à une page de présentation légèrement animée. Le programme vous propose ensuite son menu sur fond de raster (une technique employée par les Demo-Mackers qui, dans le cas présent s'applique parfaitement au jeu). Vous pouvez choisir si votre adversaire sera géré par l'ordinateur ou par un autre joueur (votre petit frère par exemple).
Vous choisissez ensuite les capacités de votre personnage. Il s'agit de trouver le bon équilibre entre la force de frappe et la précision de votre combattant, ainsi qu'entre sa vivacité et sa résistance aux coups de l'adversaire.
PARADES ET MOUVEMENTS
Comme dans toute simulation de combat, ce qui compte le plus c'est la diversité des coups et des parades. No Exil se montre à la hauteur en proposant des roulades et sauts dans les deux directions, plusieurs types d'attaques comme les coups portés à la figure, au ventre et aux tibias. Pour assurer sa défense, le joueur devra maîtriser à merveille les parades qui éviteron. avec un zeste d'anticipation, les divers coups du pas beau qui voudra, comme tout pas beau digne de ce nom. sauver sa peau. Un détail important autant qu'amusant : les joueurs peuvent récupérer leur force en faisant de petits mouvements relaxants inspirés de notre gymnastique occidentale. Sympa, mais pas très pratique contre les méchants qui ne perdent pas une seconde en vous fonçant dessus à vitesse grand
UN MONSTRE VAUT MIEUX QUE DEUX TU L'AURAS
Dans le mode de combat contre l'ordinateur, vous pouvez à trois reprises vous transformer en un monstre surpuissant qui ne fera aucun cadeau au gugus d'en face. A consommer avec modération et surtout avec beaucoup de jugeote car il arrive des moments où la transformation devient indispensable et, comme toute bonne chose, cela ne dure pas une éternité.
LES ECRANS EN COULEUR
L'écran est très riche. En plein centre de votre moniteur, se trouve la fenêtre dans laquelle se déroulent les combats. On ne peut se tromper. C'est une fenêtre étirée, pour donner un espace plus important, que les CPC offrent par défaut. On y voit également le niveau d'énergie des deux combattants (99 pour la meilleure des formes), le nombre de transformations possibles du joueur en monstre, et un chronomètre.
Eh oui ! le temps vous est compté et ne dépasse guère les 90 secondes... C'est ainsi qu'en voulant jouer les rapaces, j'adoptais la tactique de "trois sauts à droite, je récupère, trois sauts à gauche, je récupère", et out of time... Chaque combat a lieu dans un décor différent. Les graphistes, je l'avoue, ont fait du bon travail. Les six décors utilisés pour le jeu privilégient les nuances de mauve, ce qui donne à l'ensemble un arrière-goût de la planète Violetin-X23 (lieu dans lequel étant enfant je passais mes vacances avec mon chien et Zozotte, la voisine... M'enfin, je ne suis pas là pour vous raconter ma vie, d'autant que vous n'en avez rien à faire, non ? Ah bon !). On trouve de tout petits détails (genre gag) comme la chauve-souris qui passe et repasse en croondant comme une fourmi. Comment, vous ne saviez pas que les fourmis croondent ?
C'EST DOMMAGE
Le grand regret ressenti en jouant à No Exit, c'est sa simplicité. Au bout de la cinquième partie, je me trouvais au dernier level, et Robby, en moins d'une heure d'entraînement, l'a fini. Croyez-moi, dans le genre bastonneur fou, il ne fait pas le poids. Il n'empêche que le joueur moyen et non initié aux simulations de combat peut tout de même y passer de longues heures en jouant par exemple avec le cousin venu de très loin essayer sa nouvelle bécane.
No Exit est un jeu bien réalisé qui. je le rappelle, ne pousse pas assez loin les possibilités des CPC plus et les GX 4000 (mais nous en sommes sûrs, cela ne saurait tarder : n'est-ce pas, messieurs les éditeurs ?). Les couleurs sont là, le son aussi, mais la facilité et la petitesse de Taire de jeu en font un soft qui se retrouvera assez vite au placard, et c'est bien dommage. Une dépêche de dernière minute m'apprend que les programmeurs du soft ont décidé de rendre le jeu plus difficile. Enfin une boîte d'édition qui tient compte de l'avis de la presse !
Cpc Rulez - Reference |
|
Si vous êtes l'auteur de ce test et que vous voulez que celui-ci soit retiré il n'y as pas de soucis. Veuillez nous envoyer une demande via le formulaire de Contact avec la référence du celui-ci.
|
Session de jeu
NONE
NONE
Lien direct : | |
Cliquez sur le lien pour le copier. | |
Partager : |
Ce titre n'as pas encore été partagé, donc si vous voulez le faire connaitre n'hésitez pas.
|
Commentaires des utilisateurs
Pas encore de commentaires pour ce jeu.