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Développeur , Editeur : |
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Support : | Cartouche | ||||||||||||
Certifié : | |||||||||||||
Langue : | |||||||||||||
Date de sortie : | 1991 ( 33 ans ) | ||||||||||||
Type : |
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Joueur : | |||||||||||||
Quote : |
Quel dommage que Navy Seals n'ait pas été disponible le jour de la sortie de la console GX 4000 ! Difficile mais très bien réalisé, ce programme offre un challenge digne des plus grands jeux sur micro 16 bits...
Un groupe surentraîné des forces d'intervention américaines part en mission dans le golfe d'Oman. Leur but, secourir l'équipage d'un hélicoptère descendu par l'ennemi, et faire sauter ensuite un stock de missiles dans Tune des bases les mieux gardées de l'adversaire. Un beat-them-all de grande qualité, qui allie réflexe et réflexion, et prouve bien les qualités de la nouvelle console Amstrad. Cette partie se décompose en six niveaux de jeu qu'il va vous falloir remporter à tour de rôle. A chaque passage à un niveau supérieur, le jeu profite d'une option « continue » qui vous évitera de recommencer trop souvent les toutes premières missions. Nauy Seals offre des décors complexes mais vraiment très bien dessinés. Les scrollings latéraux et verticaux qui suivent votre progression dévoilent ainsi un important labyrinthe de plates-formes, échelles, structures auxquelles on peut se suspendre, etc. C'est le premier atout de ce programme : tous les éléments du décor sont empreints de réalisme et la GX 4000 utilise avec habileté sa palette de couleurs.
Deuxième atout, la souplesse et le réalisme de l'animation des personnages. Votre héros, s'il marche, bien sûr, avec moins de grâce qu'un Prince ojPersia par exemple, bénéficie de mouvements intéressants. Lorsqu'il avance, il peut tout aussi bien rester courbé
Difficile, ce jeu aura une bonne durée de vie.
que ramper derrière des caisses. Mais c'est surtout pour atteindre les plates-formes supérieures qu'il fait preuve d'originalité. Il va, en effet, se suspendre par les bras à la plate-forme, puis effectuer un rétablissement superbe pour se retrouver sur-celle-ci. Il peut également rester suspendu et progresser ainsi le long de la plate-forme.
Si toutes ces animations sont réalistes et originales, elles s'enchaînent aussi dans de complexes combinaisons. Les pros pourront par exemple monter une échelle, rester suspendu un moment, se rétablir et mitrailler l'adversaire, le pied à peine posé sur la plate-forme, le tout en un mouvement aussi souple que possible. C'est superbe et... pratique !
Graphismes, animations, mais surtout richesse stratégique concourent au succès de Navy Seals.
Des décors complexes mais bien dessinés.
Les animations, pour une 8 bits, laissent pantois.
Car, s'il est beau et ludique, Navy Seals est aussi très difficile à vaincre. La stratégie qu'il développe ne vous permet pas de tirer sur tout ce qui bouge, de jouer au kamikaze... il faut, pour chaque niveau de jeu, mettre en place un déplacement très calculé, un chemin qui vous permette de découvrir toutes les armes cachées, de tuer tous les adversaires et d'activer éventuellement des détonateurs, le tout avec un nombre de vies limité et surtout un temps de jeu très restreint (3 minutes seulement pour le premier niveau de jeu, 16 pour le deuxième, etc.). Seul un parcours extrêmement précis mène à la victoire. Et pour le trouver, bonjour l'enfer !
Navy Seals vous tiendra longtemps en haleine.
C'est, tout à la fois, la beauté des graphismes et animations, la richesse des déplacements et cette difficulté toute stratégique qui m'a comblé ici. Navy Seal est un soft qu'il fait bon combattre, et qui pourra, vu sa difficulté, vous motiver à très long terme. Un investissement incontournable sur la GX 4000.
Un groupe surentraîné des forces d'intervention américaines part en mission dans le golfe d'Oman. Leur but, secourir l'équipage d'un hélicoptère descendu par l'ennemi, et faire sauter ensuite un stock de missiles dans Tune des bases les mieux gardées de l'adversaire. Un beat-them-all de grande qualité, qui allie réflexe et réflexion, et prouve bien les qualités de la nouvelle console Amstrad. Cette partie se décompose en six niveaux de jeu qu'il va vous falloir remporter à tour de rôle. A chaque passage à un niveau supérieur, le jeu profite d'une option « continue » qui vous évitera de recommencer trop souvent les toutes premières missions. Nauy Seals offre des décors complexes mais vraiment très bien dessinés. Les scrollings latéraux et verticaux qui suivent votre progression dévoilent ainsi un important labyrinthe de plates-formes, échelles, structures auxquelles on peut se suspendre, etc. C'est le premier atout de ce programme : tous les éléments du décor sont empreints de réalisme et la GX 4000 utilise avec habileté sa palette de couleurs.
Deuxième atout, la souplesse et le réalisme de l'animation des personnages. Votre héros, s'il marche, bien sûr, avec moins de grâce qu'un Prince ojPersia par exemple, bénéficie de mouvements intéressants. Lorsqu'il avance, il peut tout aussi bien rester courbé
Difficile, ce jeu aura une bonne durée de vie.
que ramper derrière des caisses. Mais c'est surtout pour atteindre les plates-formes supérieures qu'il fait preuve d'originalité. Il va, en effet, se suspendre par les bras à la plate-forme, puis effectuer un rétablissement superbe pour se retrouver sur-celle-ci. Il peut également rester suspendu et progresser ainsi le long de la plate-forme.
Si toutes ces animations sont réalistes et originales, elles s'enchaînent aussi dans de complexes combinaisons. Les pros pourront par exemple monter une échelle, rester suspendu un moment, se rétablir et mitrailler l'adversaire, le pied à peine posé sur la plate-forme, le tout en un mouvement aussi souple que possible. C'est superbe et... pratique !
Graphismes, animations, mais surtout richesse stratégique concourent au succès de Navy Seals.
Des décors complexes mais bien dessinés.
Les animations, pour une 8 bits, laissent pantois.
Car, s'il est beau et ludique, Navy Seals est aussi très difficile à vaincre. La stratégie qu'il développe ne vous permet pas de tirer sur tout ce qui bouge, de jouer au kamikaze... il faut, pour chaque niveau de jeu, mettre en place un déplacement très calculé, un chemin qui vous permette de découvrir toutes les armes cachées, de tuer tous les adversaires et d'activer éventuellement des détonateurs, le tout avec un nombre de vies limité et surtout un temps de jeu très restreint (3 minutes seulement pour le premier niveau de jeu, 16 pour le deuxième, etc.). Seul un parcours extrêmement précis mène à la victoire. Et pour le trouver, bonjour l'enfer !
Navy Seals vous tiendra longtemps en haleine.
C'est, tout à la fois, la beauté des graphismes et animations, la richesse des déplacements et cette difficulté toute stratégique qui m'a comblé ici. Navy Seal est un soft qu'il fait bon combattre, et qui pourra, vu sa difficulté, vous motiver à très long terme. Un investissement incontournable sur la GX 4000.
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